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La catégorie qui subsume la majorité des publications de ce blog est photosculpture. Par ce mot valise, je ne cherche pas à associer la photographie à la sculpture. Je n’ai ni la prétention ni les moyens de reproduire, par exemple, l’expérience d’un François Willème. Ce sont ici avant tout des photographies bien limitées et délimitées par leur inhérente bi-dimensionnalité. Mon propos relève plutôt d’une sorte d’archéologie instantanée des faits et gestes humains du quotidien. J’ai choisi de saisir l’animal bipède que nous sommes à travers une représentation tronquée comme l’est très souvent une statue dégagée des décombres du temps et des ruines de la mémoire. Mes représentations acéphales de l’Homme nous rappellent que sans le miroir, l’être humain est capable de voir une large part de son corps mais que ses yeux ne lui permettent pas de visualiser sa tête...Pour lire la suite, ouvrir ce lien: http://brahimtankine.canalblog.com/archives/2013/11/15/28440587.html