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La Terre comme piédestal
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La Terre comme piédestal
Derniers commentaires
photosculpture
8 décembre 2013

Le fardos

Charge-P1160199

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5 décembre 2013

N'être sous X"

N'être-sous-X-P1160125

1 décembre 2013

N'être sous X

N'être-sous-X-P1160107

"Les seuls moments auxquels je pense avec réconfort, sont ceux où j'ai souhaité n'être rien pour personne, où j'ai rougi à l'idée de laisser la moindre trace dans la mémoire de qui que ce soit..."

Cioran (1973: 89) De l'inconvénient d'être né, Folio, Gallimard.

29 novembre 2013

Ne pas pouvoir voir quelqu'un en peinture

Ne pas pouvoir voir quelqu'un en peinture

27 novembre 2013

La guerre de l'eau

Bombe-d'eau-P1150897

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25 novembre 2013

Cerise sur le gâteau

batr P1070887

Le choix du titre de cette image "Cerise sur le gâteau" est dicté d'un côté par le fait que la personne acéphale porte à la main un gâteau emballé et que de l'autre, le camion citerne porte une inscription arabe tronquée dans laquelle les trois lettres rescapées en rouge relèvent du champ sémantique associé à l'action de "couper", "trancher"...etc.

23 novembre 2013

Autopsie d'un cartable

Autopsie de l'éducation-P1150975

22 novembre 2013

PEINE CAPITAL

Peine Capital

En résonance avec l'intitulé de l'image du jour qui nous renvoie avant tout aux laissés pour compte du grand Capital, il y a le titre d'une publication récente (2013) de Julia Kristeva: " Visions Capitales. Arts et rituels de la décapitation". Voici la préface de ce livre :

Visions capitales Kristeva 2013

"Sommes-nous fatalement des esclaves de l’image ? Ce n’est pas sûr, répondent les philosophes, par métier incertains. Car l’image est potentiellement un espace de liberté : elle anéantit la contrainte de l’objet-modèle et lui substitue l’envol de la pensée, le vagabondage de l’imagination. J’ajoute, et c’est mon parti pris, que l’image est peut-être le seul lien qui nous reste avec le sacré : avec l’épouvante que provoquent la mort et le sacrifice, avec la sérénité qui découle du pacte d’identification entre sacrifié et sacrifiants, avec la joie de la représentation indissociable du sacrifice, sa seule traversée possible. Les pages qui suivent essaieront de montrer que certaines images et certains regards peuvent encore offrir aux humains que nous sommes, toujours davantage absorbés par la technique, une expérience du sacré. Quelles images ? Quel regard ? Quel sacré ?

Le sacré a partie liée avec le sacrifice. Les rites des têtes coupées révèlent l’inavouable fascination et l’envoûtement que le mystère religieux exerce sur les humains.

Quinze ans après l’exposition « Visions capitales » au Louvre (1998), et dont voici le catalogue, la décapitation est toujours pratiquée, nous rappelant à la réalité sociale et politique du monde dans lequel nous vivons. Qui n’a jamais vu ces intégristes terroristes, exhibant devant nos caméras médusées, comme de précieux trophées de guerre, les têtes tranchées de leurs innocentes victimes ? Homo sapiens qui est un Homo religiosus a toujours coupé les têtes : de la Mésopotamie aux Aztèques, en passant par le Caucase, mais aussi chez les Scythes, les Grecs et les Celtes, et jusqu’à l’« infâme insolence » des « tricoteuses » de la Terreur qui forçait, sous la Révolution, « tout un peuple à se salir les yeux ». Aujourd’hui encore, alors que les chaînes satellitaires font de nous les témoins impuissants de décapitations d’« otages » (du fondamentalisme ou du spectacle ?), la violence sacralisée se réinstalle sur la scène publique qui avait cru naïvement pouvoir s’en passer.

Pourtant, ces froides exhibitions du mal radical s’accompagnent, tout au long de l’histoire humaine, d’une étrange expérience imaginaire. Elle n’en efface pas l’abjection, mais se recueille, la réfléchit en gestes, en traces ou en couleurs, la transcende et nous en délivre. Ces visions capitales élucident massacres et rites sacrificiels, transposant  la violence insensée en objet de contemplation et de pensée. Loin du déni qui aveugle, et du seul jugement qui condamne, l’art des mortels côtoie le sacrifice, le désacralise et nous rend libres de le regarder en face : hideux ou sublime, parfois grotesque. Pour mieux l’éviter et le bannir, pour l’abolir.

La civilisation qui surgit de ces visions capitales est prisonnière du sacré, mais elle n’est pas prête à capituler devant le sacrifice, et encore moins à accepter ses perversions intégristes. Elle éveille en nous une résistance intime, profonde et lucide qui nous manque aujourd’hui face aux versions modernes du mal. Malheureusement, ni la toile de l’hyperconnexion accélérée, ni une gestion politique toujours plus inhibée ne semblent capables de la concevoir ou de l’insuffler.

 

4ème de couverture KristevaLes histoires dont il sera question ici sont cruelles. À travers elles, une humanité possédée par la pulsion de mort et terrorisée par le meurtre avoue, en définitive, qu’elle est arrivée à une découverte fragile et bouleversante : la seule résurrection possible serait… la représentation. Les décollations exposées en sont la preuve. Je vous invite à cheminer de leur violence à leur raffinement, pour conclure, en fin de parcours, qu’avec ou sans décapitation, toute vision n’est autre qu’une transsubstantiation capitale."


 

21 novembre 2013

Pou-belle-la-vie

Brouette-ordures-P1140207

BrouetteP1110224

20 novembre 2013

Fou de foot

P1110972
19 novembre 2013

Sex Machine

Sex Machine P1140210
" Là, où la queue gouverne, la tête se déprave. " (Proverbe polonais)
 
17 novembre 2013

A la p(l)age

A la plage
16 novembre 2013

Quand les rêves en pure laine désertent la tête

Quand les rêves désertent la tête
" Les pays du Sud sont dans une situation un peu comparable, économiquement, à celle des SDF : ils étaient endettés ; en vingt ans, ils ont payé cette dette quatre fois, et maintenant elle est quatre fois plus importante qu’au début. La nouvelle pauvreté n’est pas un phénomène marginal du nouvel ordre économique mondial, mais au contraire absolument central. En Europe, où les SDF en sont l’expression la plus extrême, la plus visible, personne ne peut l’ignorer. Bien sûr, on peut fermer les yeux. Mais si on ferme les yeux, c’est qu’on a déjà vu quelque chose qu’on ne veut pas voir..." (John Berger, King).
15 novembre 2013

De la taille d'une noix

De-la-taille-d'une-noix-b-P
12 novembre 2013

Hommage à Rodin

En ce 12 novembre, je voudrais par l’image rendre un auguste  hommage à Rodin en réinterprétant l’une de ses plus célèbres sculptures : Le Penseur.

A cette occasion, je tiens à remercier T.D. d’avoir bien voulu se prêter au jeu de la séance photo et surtout d’avoir accepté durant un instant de vider sa tête de toute pensée.

Le-penseur-P1130255
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